On s'y perd

La vie est un dédale qui s'étale du départ au pardon.
Tête en carton, mon esprit faible est le fardeau
Qui ralentit mon parcours
La mort odore et j'adore la puanteur pure qui guide ma torpeur.
Je plains celui à qui la mort fait encore peur,
Car si pour certains les temps sont durs,
Pour moi, les temps sont morts.

1 commentaire:

Mef a dit…

Je sais que le poème commence par: La vie est...

Je jure que ça ne se reproduira presque plus...